Au sit-in de ce lundi 3 mai 2021, consacrant la Journée mondiale de la liberté de la presse, plusieurs acteurs des médias ont marqué de leur présence à cette rencontre. À cette rencontre, le président de l’Association de la presse pour l’entraide et la solidarité (Apres), Sambou Biagui a relevé la nécessité pour l’ensemble des acteurs d’être solidaires.
‘’Au-delà de cette rencontre, il devrait y avoir plus de solidarité et d’entente entre journalistes et techniciens des organes de l’information et de la communication. C’est très important qu’on ait cette relation huilée. Parce que ce sont ce genre de relations étroites qui existent dans les autres secteurs de ce pays. Cette chaine de solidarité doit être pérenne’’, a-t-il confié au micro de Dakaractu.
M. Biagui dit estimer qu’à l’issue de cette rencontre pour célébrer la journée mondiale de la presse, cette solidarité devrait demeurer. Ce qui, selon lui, constituerait une force pour les entreprises de presse. ‘’C’est parce qu’il y a l’absence d’une symbiose et cette solidarité manifeste entre les entreprises de presse qu’on a vu que les uns ont été attaqués au moment où d’autres sont épargnées. Aujourd’hui la presse est dans une situation dangereuse. Elle est attaquée de partout. Et pire, il y a beaucoup de personnes qui confondent presse et réseaux sociaux. Il faut qu’on sache différencier ceux qui livrent des informations dans les réseaux sociaux et les journalises qui font leur travail, en tout professionnalisme. C’est là que nous interpellons les autorités publiques pour leur rappeler que la presse est un service public, un partenaire inconditionnel dans ses activités. Parce que la presse doit être un contre-pouvoir. Ce qui permettrait aux tenants du pouvoir comme à leurs adversaires d’être informés de ce qui se passe réellement dans la société’’, dira-t-il.
‘’Au-delà de cette rencontre, il devrait y avoir plus de solidarité et d’entente entre journalistes et techniciens des organes de l’information et de la communication. C’est très important qu’on ait cette relation huilée. Parce que ce sont ce genre de relations étroites qui existent dans les autres secteurs de ce pays. Cette chaine de solidarité doit être pérenne’’, a-t-il confié au micro de Dakaractu.
M. Biagui dit estimer qu’à l’issue de cette rencontre pour célébrer la journée mondiale de la presse, cette solidarité devrait demeurer. Ce qui, selon lui, constituerait une force pour les entreprises de presse. ‘’C’est parce qu’il y a l’absence d’une symbiose et cette solidarité manifeste entre les entreprises de presse qu’on a vu que les uns ont été attaqués au moment où d’autres sont épargnées. Aujourd’hui la presse est dans une situation dangereuse. Elle est attaquée de partout. Et pire, il y a beaucoup de personnes qui confondent presse et réseaux sociaux. Il faut qu’on sache différencier ceux qui livrent des informations dans les réseaux sociaux et les journalises qui font leur travail, en tout professionnalisme. C’est là que nous interpellons les autorités publiques pour leur rappeler que la presse est un service public, un partenaire inconditionnel dans ses activités. Parce que la presse doit être un contre-pouvoir. Ce qui permettrait aux tenants du pouvoir comme à leurs adversaires d’être informés de ce qui se passe réellement dans la société’’, dira-t-il.
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